Review by Sush[ii]s

HTLV, et plus exactement l'un de ses moviemakers, brcho, s'est occupé de réaliser un highlight sur le dernier Major en date : l'ESL One Cologne 2015. Celle-ci fait presque une vingtaine de minutes, un format devenu classique pour cette catégorie d'highlight.

On passe rapidement une introduction qui n'est là parce qu'il en faut une, celle-ci ne durant qu'une trentaine de seconde (ce qui en soit est compréhensible, on parle ici d'un highlights et non d'une vidéo réellement très travaillée). En effet, le logo d'HLTV et le nom du moviemaker, un enchainement rapide des équipes présentes et un plan d'une dizaine de secondes des lieux. C'est bon, c'est terminé ! Une intro qu'on aura donc très vite fait d'oublier.

Passons donc à ce qui nous intéresse le plus : la fragpart ! Dans l'ensemble, rien de bien original, ce qui semble logique pour un highlight. Néanmoins, on a droit à de nombreux footages qui ajoutent à l'ambiance de la vidéo. On a même droit à quelques petites situations amusantes. Vous ne voyez pas de quoi je parle? Et si je vous dis Get_Right caché dans une smoke ou des commentateurs qui n'en reviennent pas d'une action d'allu qui s'amuse sur une échelle ?

Pour en revenir aux actions en elles-même, la vidéo avance chronologiquement : phase de groupe, quarts, demi et finales. On remarque au passage le niveau de jeu assez important sur ce Major, la variété des joueurs (et donc des équipes) étant un bon indicateur.

De ce fait, on ne passera évidement pas à côté d'une playerbar qui n'est rien d'autre que les stickers signés des joueurs. Cependant, les signatures de certains joueurs rendent la lecture compliquée et il faudra se rabattre sur la deathnotice pour ne pas se tromper de personne ! D'ailleurs, le tableau de l'arbre final aura droit également à son sticker d'équipes pour compléter le tout.

Que dire de plus? Des shoutcasts très présents et variés, d'ailleurs parfois coupés assez brusquement. Une musique cohérente du début à la fin, et pour cause tirée uniquement de Really Slow Motion. Rien à redire sur l'édit en soit. Ah et si une outro inexistante : dix secondes pour voir fnatic lever le trophée.